Mine de rien Mine de plomb Mon crayon Toujours un besoin Ecrire pour partir Encre, Sinistre ou sinisme Ma musique C'est écrit c'est peint Le pain d'une vie... Une vie doucement Dans la solitude Trouver la voie La route
La peinture est douceur Pleurs La peinture est volage Ne l'attend pas Elle vient quand Tu ne l'attend plus !
FORCE ET VIE DE LA NATURE "MORTE".. CHAQUE PEINTURE EST MORTE... SA MORT EST UNE RENAISSANCE... C'est une naissance... La tienne Pourtant elle est à toi Ou elle est à toi... Pousse tes idées... Vis à travers ta main... Ta main est douceur Elle est force... Ton cerveau traverse ton corps Et attéris sur la toile... Tes émotions roulent, descendent à travers ton sang...
VERTIGE DES BRUNS POUVOIRS DES OCRES PRIMITIFS... PUISSAMENT D'AUJOURD'HUI
La couleur colle à la toile La toile devient entière... Elle existe ailleurs Devant d'autres yeux Que les tiens Dans d'autres têtes Que la tienne Sa force n'est pas la tienne...
Metz, le 27 octobre 1998
------------------ "Nous vivons Pour mourrir Et nous mourrons Pour revivre" Graffiti lus dans la Cathédrale de Metz
Zelda dit "J'ai perdu la mémoire." - La mémoire...quelle mémoire ? répondit Léon - Celle de la vie... Continua-t-elle : la vie de l'écriture. L'écriture intérieure. Ou l'écriture automatique. Cette écriture suréaliste qui est surement plus réaliste qu'elle ne paraît. Il semble que j'ai besoin d'écrire autant que de dessiner. Exprimer ce qu'il y a en moi... - Bizarre... Fit-il - Mais je pourrais essayer. Remplir des feuilles blanches de dessins ou d'écriture c'est surement la même chose... - Aujourd'hui oui, mais demain ? - Qu'est-ce qu'il y a dans ma tête... S'interrogea-t-elle à haute voix. - Des choses, j'allais dire des dessins... Des couleurs, des peines et des joies. Lui rétorqua-t-il.
Mais elle continuait sur sa pensée. - Qui suis-je ! Né d'ici et d'ailleurs, je fais partie d'un monde très vaste qui m'inspire, me modèle, mais moi... très fort moi, où vais-je ? Qu'est-ce que je veux ? Je le sais peux être mais je ne l'écoute pas... Etre tranquille, bien... Bien avec moi même... - Et l'être aussi avec les autres. - Je suis solitaire et je suis sociable. Je suis blanche, je suis noire. Je suis unique, je suis multiple. Je suis indépendante et dépendante, courageuse et j'ai peur. Je suis la femme et je suis une femme. Je suis un univers et je suis un grain de sable. Penser tout ça me choque, me surprend et me fais peur, pour qui-est-ce que je me prend ? Je ne sais plus...j'arrête... peut être une autre fois...peut être demain... - Quoi ? demanda-t-il. - A moi de savoir ! Fit-elle. - Regarde en toi... Vois et Ecoute ce qu'il se passe, ne ferme pas les yeux...
L'histoire se passe au début des années 60, pendant la guerre d'Algérie. Messaoud à 9 ans, ilhabite à Aubervilliers. son père le laisse avec son frère à l'assistance publique. Messaoud est placé dans une famille d'accueil dans le Berry. Gisèle cache l'identité de Messaoud à tout le monde et surtout à son époux Georges. Messaoud devient vite Michel, dit Michou. Il joue pleinement ce jeu de cache-cache. Et il découvre la vie dans la campagne berrichonne. Mais le mensonge de Gisèle est bientôt révélé.
Ce film est formidable. Depardieu en ancien militaire, partisan du Général De Gaulle est superbe dans le rôle de rustre très affectueux. Quant à Nathalie Baye elle joure superbement son rôle de femme sensible vivant à la campagne avec les duretés de la vie de village. Des acteurs très attachants... un vrai moment de bonheur !
Le film nous plonge à l'époque ou dénonciation et racisme étaient d'actualité. L'histoire de "personnages" tous différents, conscients de leur différence, mais s'attachant les uns aux autres. Ce film développe un message fort d'humanité, d'amitié, d'amour, c'est un vrai souffle de bonheur... S'il pouvait semer des idées de tolérance dans les consciences.......
Michou d'Auber, un film qui fait autant pleurer que rire. Et on ne peut pas sortir de la séance indifférent... "Michou d'Auber" laisse un message doux amer quand on sort de la salle et que l'on prend conscience à quel point il est d'actualité...
J'ai les doigts figés sur le clavier... Il fait nuit... normal, il est onze heures moins une minute. Dans la cheminée, le feu crépite légèrement... Mais le son de la télévision, couvre le léger bruit des braises. J'ai passé le cap' des "premiers instants de blogueuse".
Un bloc de papier pour noter quelques impressions qui se transforme en "blog de papier" pour saisir des instants de la "vie d'ici".
Ici c'est la campagne... Autour du village des vignobles... Un village qui vit au rythme des vendanges... Non, non, je suis pas une fille d'ici, je suis une expatriée de la (des) ville(s) - Lyon, Metz... ça ne fait qu'un an que nous nous sommes installés à la campagne...
Ces moments privilégiés où l'on se lance dans des aventures incertaines me font frissonner. Pour planter le décor, nous sommes Dimanche 25 Mars 2007. Cette nuit nous sommes passés à l'heure d'été. Et le printemps est arrivé depuis quelques jours. Ainsi, il est aisé d'imaginer que l'heure est au renouveau !!! Pourtant aujourd'hui le ciel est gris et les températures sont froides.A la maison le bois brule dans la cheminée ...
Et alors cette aventure ? et bien c'est celle du blog. Je publie ce premier article et pour la suite on verra...
Un bloc de papier pour griffonner quelques impressions... un "blog de papier" pour saisir des instants de la Vie... Un Blog de papier photo... Vous trouvez ici des peintures, des photos, des petits dessins et des textes...